D’après une nouvelle étude Ipsos* réalisée en février 2023, près de 2/3 des Français se disent stressés et 43 % d'entre eux constatent que leur niveau de stress a augmenté en deux ans.
Toutefois de nombreuses causes se cachent derrière le stress selon l'âge. Plus de la moitié des 18-24 ans sont préoccupés par leur avenir et les grandes décisions à prendre concernant leur orientation professionnelle ou leur premier emploi. Les 25-35 ans citent comme principale source de stress la difficulté à concilier vie personnelle et professionnelle en termes de responsabilité et de rythme (36 %). En avançant en âge c'est le travail qui prédomine chez les 35-45 ans (57 %), devant leur situation financière (pouvoir d'achat, inflation) et les problèmes familiaux (enfants, couple). Les 55-77 ans placent pour 49 % l'actualité comme principale cause de stress (réforme, conflits, inflation).
L'étude révèle aussi que les 25-34 sont actuellement les Français les plus stressés et que les femmes le sont plus souvent que les hommes (71 % vs 58 %). Elles déclarent être impactées en priorité par les problèmes familiaux (48 %) alors que chez les hommes c'est le travail qui ressort en premier (45 %). D'une manière générale, les Français sont unanimes pour dire que le stress n'est ni motivant ni un facteur de réussite, et 91 % pensent même qu'il est mauvais pour la santé. Les principaux symptômes ressentis sont la nervosité, l'irritabilité, les troubles du sommeil et la fatigue intense.
Pour 45 % des personnes interrogées, pratiquer une activité physique est la première échappatoire face aux manifestations physiques et/ou psychiques du stress. D'autres recherchent du réconfort auprès des amis ou de la famille (33 %) ou préfèrent retrouver de la sérénité en respectant les rythmes de sommeil (27 %). De façon plus préoccupante, la gestion du stress peut conduire certains à adopter des habitudes aux effets indésirables avec des risques de dépendance, comme la consommation d'aliments gras, salés, sucrés (27 %), ou encore d'alcool, de cannabis ou de tabac (18 %).
Une solution personnalisée
Lorsque le stress s'installe de façon durable, une bonne hygiène de vie n'est pas toujours suffisante et une prise en charge thérapeutique s'impose. Les résultats de l'enquête confirment que les Français sollicitent de façon importante les professionnels de santé (27 %), principalement un médecin généraliste, et un sur deux déclare avoir déjà pris un traitement. Ils sont 27 % à vouloir une approche personnalisée et 20 % attendent plus d'écoute de la part du professionnel de santé. Une majorité d'entre eux trouvent les médicaments homéopathiques pertinents et plus appropriés que les traitements conventionnels pour gérer leur stress. Ce choix correspond exactement à leurs attentes : ils souhaitent une prise en charge sûre, sans effets secondaires (43 %) sans accoutumance (42 %) et à base d'ingrédients naturels (35 %). « La thérapeutique homéopathique permet de prendre en charge non seulement la maladie mais le patient dans sa globalité, dans sa façon de gérer son stress, ses manifestations physiques et psychiques, précise le Dr Marie-Hélène Ribreau, homéopathe à Tours. De cette façon il est possible de lui prescrire un traitement adapté à ses propres symptômes mais également à son terrain en intervenant à plusieurs stades : en prévention, en première intention et/ou en accompagnement d'autres traitements. Le médecin dispose d'un éventail assez large de médicaments homéopathiques du stress et de l'anxiété, unitaires, en doses ou granules. » Ils peuvent être prescrits ou conseillés seuls ou en association entre eux ou avec d'autres médicaments. Pour rappel, Boiron propose deux médicaments associant plusieurs substances actives : Sédatif PC en comprimé sublingual et en granules pour réduire le stress pendant la journée et pour mieux dormir la nuit ; Zenalia en comprimé sublingual pour le trac, l'appréhension et l'anxiété.
D'après une conférence de presse de Boiron.
* Étude menée auprès d’un échantillon de 1 501 Français âgés de 18 à 75 ans.