Depuis le 1er décembre, les déclarations de biovigilance doivent être adressées à l'Agence de biomédecine et non plus à l'Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM). Un décret du 29 novembre, paru au « Journal officiel» le lendemain, lui attribue en effet la compétence de la biovigilance et de la vigilance en assistance médicale à la procréation. Il s'agit du dispositif de surveillance des incidents et effets indésirables qui surviennent lors du prélèvement, de la préparation et de l'utilisation à des fins thérapeutiques des éléments et des produits du corps humains que sont les organes, les tissus, les cellules, les préparations de thérapie cellulaire et le lait maternel. Ne sont pas inclus dans ce dispositif les produits sanguins labiles ; les gamètes, tissus germinaux et embryons ; les médicaments et dispositifs médicaux ; les essais cliniques sur l'homme.
Biovigilance
L'Agence de biomédecine compétente
Par
Publié le 05/12/2016
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Article réservé aux abonnés
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Source : Le Quotidien du Pharmacien: 3309
Formation continue
Transmission automatique des actions de DPC : les démarches à faire avant le 30 novembre
Relocalisation industrielle
Gel des prix sur le paracétamol pendant 2 ans : pourquoi, pour qui ?
Salon des maires
Trois axes d’action pour lutter contre les violences à l’officine
Gestion comptable
Fidéliser sa clientèle ? Oui, mais pas à n’importe quel prix