À conseiller, même si la destination n’est pas exotique, pour les diarrhées bénignes ou modérées. Elle doit contenir au moins un antidiarrhéique antisécrétoire (racécadotril par exemple) pour atténuer les symptômes en réduisant l’hypersécrétion d’eau et d’électrolytes dans l’intestin, sans modifier le temps de transit. Mais attention à la contre-indication chez les moins de 15 ans et les femmes enceintes ou allaitantes. Les antidiarrhéiques moteurs (lopéramide) sont à réserver aux diarrhées très liquides, fréquentes et abondantes ou en cas de nécessité comme un voyage en avion car ils entraînent une constipation avec ballonnements. On peut aussi conseiller en complément, un protecteur intestinal (diosmectite…), en signalant qu’il peut diminuer l’effet d’autres médicaments pris en même temps, et un antispasmodique intestinal pour calmer les douleurs abdominales (phloroglucinol, trimébutine, mébévérine).
L’indispensable trousse « gastro »
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Publié le 26/05/2020
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Source : Le Quotidien du Pharmacien
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