Dans quelles situations cliniques ?

Par

Didier Rodde -

Publié le 06/03/2014

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Anticorps monoclonaux :

- Bévacizumab : cancer du sein métastatique, cancer bronchique, cancer de l’ovaire.

- Cétuximab : cancer colorectal métastatique.

- Rituximab : lymphomes non hodgkiniens, leucémie lymphoïde chronique.

- Trastuzumab : cancer du sein, cancer gastrique.

Inhibiteurs de tyrosine-kinase :

- Dasatinib : leucémie myéloïde chronique, leucémie aiguë lymphoblastique à chromosome Philadelphie, leucémie myéloïde chronique en phase blastique lymphoïde.

- Erlotinib : cancer bronchique non à petites cellules, cancer du pancréas métastatique, en association à la gemcitabine.

- Géfitinib : cancer bronchique non à petites cellules.

- Imatinib : leucémie myéloïde chronique avec chromosome Philadelphie, leucémies aiguës lymphoïdes chromosome Philadelphie positive, tumeurs stromales gastro-intestinales malignes, syndromes myélodysplasiques/myéloprolifératifs, syndrome hyperéosinophilique à un stade avancé, leucémie à éosinophiles.

- Lapatinib : cancer du sein.

- Nilotinib : leucémie myéloïde chronique chromosome Philadelphie positive.

- Sorafénib : carcinome hépatocellulaire, carcinome rénal avancé.

- Sunatinib : cancer avancé du rein, carcinome hépatocellulaire, forme la plus courante (90 %) du cancer primaire du foie, tumeurs stromales gastro-intestinales malignes.

- Vandétanib : cancer médullaire de la thyroïde localement avancé non opérable ou métastatique.

- Vémurafénib : mélanome.

- Navelbine : cancer du sein métastatique, cancer du poumon non à petites cellules.

- Abiratérone : cancer de la prostate métastatique.

- Capécitabine : cancer colorectal, cancer gastrique avancé, cancer du sein localement avancé ou métastatique.

Rappelons aussi l’intérêt bien établi des antihormones, notamment les antiestrogènes et les inhibiteurs de l’aromatase dans le cancer du sein hormonosensible.