La semaine dernière, plusieurs régions françaises dont Paris, étaient touchées par un pic inhabituel de pollution ayant conduit à la mise en place d’une circulation alternée.
La circulation automobile est responsable à 55 % de la pollution atmosphérique, selon Airparif, l’organisme chargé de surveiller la qualité de l’air dans la région. La maire de Paris, Anne Hidalgo a lancé, à cette occasion et en présence de pneumologues, une campagne destinée à « confronter les parisiens à la réalité » de la pollution de l’air et de ses conséquences sur la santé. « La pollution tue et rend malade », ont martelé les médecins pour cette campagne intitulée « La pollution automobile à Paris, il faut que ça s’arrête ».
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