L’ÉTUDE a été menée en 2012 dans six pays européens, dont la France, auprès de 12 200 femmes âgées de 30 à 60 ans. « Il en ressort qu’en terme d’esthétique, il faut plus que jamais s’éloigner d’une perfection standardisée pour laisser la place à des ajustements personnalisés qui gomment en douceur les marques négatives du temps et aident la femme à assumer son âge sereinement, constate Sarah Christiannse (division esthétique et cosmétique Galderma Q-Med). En effet, celle-ci refuse de transformer son visage en une image figée inexpressive. Au final, l’idée est de restaurer l’image que la femme a d’elle-même pour renforcer son équilibre émotionnel et son mieux-être. »
En France, 41 % des patientes ayant eu recours à la médecine esthétique ont réalisé plusieurs types d’interventions quasi en simultané, 76 % d’entre elles ont même répété l’opération à plusieurs reprises. Une fois l’intervention effectuée, 80 % des patientes estiment qu’il est important d’avoir des séances de suivi pendant quelques semaines, et 22 % déclarent être fidèles à un cabinet pour la qualité de ce suivi. Le médecin devient un coach esthétique attentif, méticuleux et prudent qui, après avoir évalué les besoins et les attentes de la patiente, va établir le bon diagnostic en réalisant une cartographie complète du visage. « En dix ans, la médecine esthétique est ainsi passée d’actes ciblés à visée anti-âge à une prise en charge globale de la personne, reconnaît le Dr Hervé Brunet, dermatologue. Ce qui implique pour le praticien de déterminer un protocole de traitements combinés prenant en compte tous les paramètres de l’apparence, mais aussi ceux du corps dans son ensemble, pour un résultat naturel et harmonieux. Pour permettre à la patiente de suivre et de comprendre l’évolution de son visage au cours du temps, le médecin doit procéder à une intervention progressive et des corrections en douceur en planifiant les séances. »
Galderma a développé pour les médecins tout un arsenal de traitements esthétiques combinés de haute sécurité : la toxine botulique (Azzalure) pour les muscles contractés, les fillers à base d’acides hyaluroniques plus ou moins réticulés et bien calibrés (Emervel ou Restylane) pour les volumes, les skinboosters pour l’hydratation, la redensification et l’amélioration de la texture de la peau. Le plan de traitement est généralement structuré en trois phases, du plus profond au plus superficiel. Au fil des traitements, il est capital que la patiente reste en phase avec elle-même.
Une crème tranquillisante à effet pansement.
Parce que 43 % des femmes qui pourraient avoir recours à la médecine esthétique hésitent par crainte de la douleur, Galderma a également conçu un mode d’anesthésiant local, innovant et original par sa galénique et sa formule. Grâce à sa technologie auto-occlusive, la crème Pliaglis forme en séchant sur la peau un film souple qui s’enlève d’un simple geste au bout d’une demi-heure. Elle peut être appliquée par la patiente chez elle pour éviter l’attente de l’effet anesthésiant au cabinet médical. Ce geste facile tranquillise à la fois la patiente et le médecin en vue d’une intervention plus sereine, plus précise et plus confortable pour chacun. La double concentration en lidocaïne (7 %) et en tétracaïne (7 %) permet une action optimale dès l’application, puis constante dans le temps. Pliaglis peut revendiquer la plus forte combinaison d’anesthésiques locaux du marché pour une intervention garantie sans douleur. Un atout très apprécié pour atténuer, par exemple, les douleurs liées à certains traitements esthétiques (lasers, injections, épilation…). La durée moyenne d’action est de 9 heures après application. Une étude clinique de pharmacodynamie (test de piqûre, N=40) a montré que la durée moyenne et médiane d’anesthésie était respectivement de 9,4 et 11 heures avec une durée minimum de 2 heures et un maximum de 13 heures. Pliaglis s’applique très facilement selon les indications précise le Dr Cartier dermatologue : « 30 minutes avant les injections de produits de comblement dermique, les épilations laser ou les lasers pour rajeunissement ; 45 minutes pour les varicosités des jambes, les rosacées, les angiomes, les lasers fractionnés, ablatifs ou non, et jusqu’à 60 minutes pour un détatouage laser. »
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