- L’inhibition hormonale est mise à profit dans de nombreuses pathologies, comme l’hyperthyroïdie, l’hyperparathyroïdie, l’hypertrophie bénigne de la prostate, les cancers hormonodépendants du sein ou de la prostate, l’endométriose, les hyperprolactinémies, l’acromégalie…
- Ces médicaments mettent en œuvre, selon le cas, une action directe sur les récepteurs hormonaux, inhibent la synthèse de l’hormone concernée ou encore sa conversion en forme active.
- Dans certains cas de traitements de longue durée, la posologie doit être adaptée en fonction d’un taux cible plasmatique d’un indicateur, comme par exemple celui de IGF-1 dans le traitement de l’acromégalie.
- Il convient d’être attentif aux possibles effets indésirables, source possible d’une mauvaise observance.
Pharmaco pratique
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3 questions à…
Françoise Amouroux
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