« Dans la prévention des maladies cardiovasculaires, la compliance des traitements reste un problème », constate le Dr Bruno Valtier, directeur médical de Pfizer France.
En lançant ses comprimés RESITUNE d’aspirine faiblement dosée, le laboratoire propose une présentation originale en forme de cœur dans le but d’améliorer l’observance d’un traitement au long cours en prévention cardiovasculaire secondaire, notamment chez les patients ayant des antécédents de cardiopathie ischémique ou d’AVC. « C’est moins grave d’oublier une statine, un anti-hypertenseur que d’oublier une aspirine », fait remarquer le Pr Olivier Hanon, cardiologue et chef du service gériatrie de l’hôpital Broca (Paris). « Il ne faut jamais arrêter ce traitement, sinon on s’expose à un surcroît de risque d’infarctus du myocarde », insiste-t-il. Or, cette prévention secondaire s'adresse principalement à une population de seniors, souvent polymédiquée. D’où l’intérêt de ces comprimés d’aspirine RESITUNE en forme de cœur qui font le lien avec leur indication. Les deux dosages proposés de 75 mg et 100 mg sont aisément identifiables avec deux couleurs distinctes, respectivement rose et blanche. Les conditionnements de 30 ou 90 comprimés sont par ailleurs adaptés à une durée de traitement à long terme pour cette prévention cardiovasculaire. L’enrobage gastro-résistant de ces comprimés à libération différée garantit une non-absorption dans l’estomac et prévient les effets irritants sur l’intestin. « La tolérance gastro-intestinale de RESITUNE n’a pas été démontrée formellement par des études cliniques », précise toutefois le laboratoire. Pour améliorer l’observance, le Pr Hanon rappelle l’importance de l’éducation thérapeutique. Il convient aussi de repérer d’éventuels troubles cognitifs ou signes de dépression qui peuvent impacter cette observance. « Plus les patients âgés prennent des médicaments, plus le risque hémorragique est important. La recherche d’une prévention secondaire par aspirine au long cours grâce au plus petit dosage efficace est une stratégie thérapeutique pertinente qui contribue à diminuer ce risque hémorragique », souligne le Pr Hanon.
D’après une conférence organisée par le laboratoire Pfize
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