L’approche interprofessionnelle a pris en Auvergne la forme d’un service de télésurveillance des insuffisants cardiaques : Cardiauvergne. Une avancée technologique qui, selon François Maeder, président de l’URPS pharmaciens Auvergne, « n’a pas pour objectif de remplacer le face-à-face entre le patient et une équipe de soignants ». Car les nouvelles technologies ne visent qu’à améliorer la pertinence des soins et leur efficience sans jamais chercher à remplacer les professionnels de santé. « Avec pour objectif d’améliorer l’observance des traitements, de faciliter les remontées de pharmacovigilance et de développer les coopérations entre professionnels de santé, ce projet repose sur un protocole conclu entre le médecin, le pharmacien et le patient qui pourront tous consulter sur un site Internet dédié les informations propres aux patients », explique le trésorier adjoint de l’URPS pharmacien d’Ile-de-France, Auguste Laplace. De même le logiciel BPC officines (bonne pratique en chimiothérapie à l’officine), mis au point au CHU de Besançon, contribue-t-il à structurer la prise en charge ambulatoire et à fluidifier les relations entre la ville et l’hôpital. Autant d’outils qui montrent que les pharmaciens continuent à tisser leur toile pour mieux prendre en charge les patients.
Internet et interprofessionnalité
Publié le 30/01/2014
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Source : Le Quotidien du Pharmacien: 3064
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