Si le fait pour la banque de tolérer des découverts occasionnels ne constitue qu’une simple tolérance, cette tolérance devient un droit dès lors qu’une convention écrite de découvert est signée. En l’absence d’une telle convention, le banquier n’est théoriquement pas obligé d’accepter de payer les chèques tirés sur le compte si celui-ci n’est pas suffisamment provisionné. En pratique, il vaut donc toujours mieux passer avec le banquier un accord écrit : vous y gagnerez en sécurité, vous paierez souvent des intérêts moins élevés, et l’autorisation de découvert pourra rester valable même en cas de dépôt de bilan.
À noter aussi que si vous disposez de plusieurs comptes dans le même établissement dont l’un est créditeur et l’autre débiteur, un chèque tiré sur le premier doit obligatoirement être payé, même si le solde des deux comptes fait apparaître un débit.
Près de 40 % du chiffre d’affaires
Médicaments chers : poids lourds de l’activité officinale
Les concentrations continuent
Hygie 31, Giropharm : grandes manœuvres au sein des groupements
Valorisation et transactions en 2023
La pharmacie, le commerce le plus dynamique de France
Gestion de l’officine
Télédéclarez votre chiffre d’affaires avant le 30 juin