Le DIU est le moyen de contraception le plus utilisé en France après la pilule. Depuis le début des années 1960, l’époque à laquelle les DIU étaient fabriqués à partir de matériaux inertes, ces dispositifs ont connu de nombreuses améliorations, notamment grâce à l’utilisation de cuivre dont les ondes cuivrées agissent comme spermicide. Leur mécanisme d’action combine un effet antinidatoire et une action précoce sur les spermatozoïdes et sur l’ovule. La réputation abortive des DIU est donc totalement infondée. Pourtant, ce mode de contraception souffre encore aujourd’hui d’un déficit de popularité en France, tant auprès de femmes que des prescripteurs, d’où la nécessité d’être à l’écoute permanente de leurs besoins et de leurs observations.
Depuis plus de 15 ans, la société 7 MED Industrie conçoit et fabrique des DIU au cuivre. Grâce à la qualité de ses matériaux et de sa fabrication 100 % française, le façonnier est devenu leader en France, obtenant la confiance des gynécologues et assurant la protection contraceptive et le confort des patientes : plus de trois femmes sur quatre portent un DIU de cette marque.
Depuis le mois de mai 2015, ce n’est plus le Laboratoire CCD mais le Laboratoire Hepatoum, maison mère de 7 MED Industrie, qui reprend et continue la distribution de ces DIU. À cette occasion, les dispositifs demeurent inchangés mais bénéficient d’une modernisation de leur packaging et d’une nouvelle marque propre. Leurs noms sont désormais précédés par l’identifiant « 7 MED » (par exemple : UT 380 Standard devient 7 MED 380 USTA) ; de ce fait chacun adopte un nouveau code ACL. C’est l’assurance des authentiques DIU 7 MED nécessaire pour conserver la qualité de l’original qui permet la précision et la maîtrise de l’acte de pose.
Les sept références de la marque sont adaptées aux différentes formes d’utérus grâce aux tubes inserteurs rigides ou à mémoire de forme pour stabiliser par exemple les utérus rétroversés ; à l’hystéromètre accompagnant chaque DIU et qui permet, grâce à la mesure de la profondeur utérine, le choix de la taille standard STA ou short SHA ; au choix possible entre les techniques de pose en un ou deux temps.
Contrairement aux idées reçues, il n’y a aucune contre-indication à la pose d’un DIU chez une patiente nullipare. L’existence de deux tailles est de ce fait justifiée car une femme sans enfant dont l’utérus est plus petit peut parfaitement se faire poser un DIU. Un modèle short pourra alors lui être prescrit.
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