Le droit de substitution ne s’applique pas aux médicaments biosimilaires. Le choix du médicament, biosimilaire ou spécialité de référence, revient au prescripteur. En revanche, l’intérêt du médicament biosimilaire reste son coût. Comme les génériques, les biosimilaires sont moins chers que les princeps, même si le traitement reste globalement onéreux par rapport à un médicament traditionnel.
Avec le biosimilaire, les laboratoires génériques montrent qu’ils ne sont pas uniquement des « copieurs », et qu’ils ont la capacité financière, technique et clinique d’investir dans la recherche et le développement. Plusieurs laboratoires ont déjà investi ce marché, considéré comme un enjeu économique majeur pour les années à venir.
Industrie pharmaceutique
Gilead autorise des génériqueurs à fabriquer du lénacapavir
Dans le Rhône
Des pharmacies collectent pour les Restos du cœur
Substitution par le pharmacien
Biosimilaires : les patients sont prêts, mais…
D’après une enquête d’UFC-Que choisir
Huit médicaments périmés sur dix restent efficaces à 90 %