Entre novembre 2008 et janvier 2009, soit plus de six mois après le lancement du libre accès, le GERMS (Groupe d’études et de recherche en marketing santé) de l’université Pierre-et-Marie-Curie a interrogé les clients d’officines ayant mis en place le libre accès en région parisienne.
D’après les résultats de cette enquête sur le ressenti des consommateurs, adeptes (50 %) et réfractaires (50 %) auraient des comportements très différents vis-à-vis du libre accès. Pour les adeptes, le gain de temps, la possibilité de bénéficier d'offres temporaires au rabais, le choix du médicament approprié, la découverte de nouveaux produits et les baisses de prix, sont considérés comme des avantages. Pour les réfractaires, le manque d'information, la crainte des risques de surdosage et de consommation non adaptée des médicaments, sont mentionnés. Mais les avis convergent sur deux thématiques spécifiques : 88 % des sondés réclament une séparation distincte entre la médication officinale et la parapharmacie. Par ailleurs, le pharmacien continue de bénéficier de la confiance du public et les consommateurs sollicitent toujours autant ses conseils. On notera également que la majeure partie des clients interrogés reste neutre face au prix du médicament, qui n'est pas considéré comme un critère d'achat.
D’après une enquête d’UFC-Que choisir
Huit médicaments périmés sur dix restent efficaces à 90 %
Injections intravitréennes
Vabysmo 120 mg/ml : de possibles déchirures sur l’emballage de l’aiguille
Humeur, sommeil et douleurs diffuses
Une huile de CBD sous trois dosages au service du conseil officinal
Rappel de lots
Sérum physiologique Biorg & Fresh : Un défaut à risque d’effets secondaires