Faut-il promouvoir ou au contraire déconseiller l'épilation du pubis ? Le sujet pourrait paraître futile, pourtant il n'est pas sans impact sur la santé.
D'autant que, selon une enquête OpinionWay réalisée pour Saforelle, plus de 3 femmes sur 4 recourent à l'épilation du maillot (partielle ou totale). Et que, toujours selon le même sondage, près d'un médecin sur deux constate une augmentation des symptômes et des pathologies liés à l'épilation intégrale ou semi-intégrale (vaginose, poil incarné, mycose, démangeaisons, IST…). Le pubis glabre plus sensible aux infections, donc ? Pas si sûr… Une récente étude a en effet étudié les taux d’infection à gonorrhée et chlamydia parmi 214 étudiantes à l’université du Midwest âgées de 21 ans en moyenne, presque toutes épilées (98 %, régulièrement, 50 %, intégralement) depuis plusieurs années. Résultat ? Si 10 % des participantes étaient effectivement atteintes de chlamydiose ou gonorrhée, les chercheurs n'ont trouvé aucune association entre l’épilation ou le rasage de la zone pubienne et les infections. Une conclusion qui prend les certitudes en la matière un peu à rebrousse-poil…
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