Avant leur première vaccination, beaucoup de pharmaciens ont avoué un petit stress, pas toujours gommé par des formations assez hétérogènes. « Je n’ai piqué qu’une seule fois, dans une orange », regrette cette titulaire du Lot-et-Garonne. D’autres ont eu droit à des cuisses de poulets, un bras en mousse synthétique simple, électronique (mesurant la pénétration de l’aiguille) ou « américain, car il avait une couche de graisse plus épaisse que les nôtres », rapporte cette pharmacienne de La Rochelle. Plus « conviviales », d’autres formations se sont achevées par une séquence où les participants se vaccinaient les uns les autres. Ce qui a peut-être inspiré Sandrine Coutable, titulaire à Poitiers : « Après la formation, je me suis entraînée sur mon mari et toute mon équipe. »
Orange ou poulet… pour s'entraîner
Par
Publié le 30/10/2017
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Article réservé aux abonnés
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Source : Le Quotidien du Pharmacien: 3384
A la Une
Gel des prix sur le paracétamol pendant 2 ans : pourquoi, pour qui ?
Salon des maires
Trois axes d’action pour lutter contre les violences à l’officine
Médication familiale
Baisses des prescriptions : le conseil du pharmacien prend le relais
Caisse d’assurance vieillesse des pharmaciens
Retraite des pharmaciens : des réformes douloureuses mais nécessaires