Dans un premier temps, le médecin va rechercher les signes évocateurs du cancer colorectal (tout en sachant qu’il est longtemps asymptomatique, surtout le cancer du côlon) : douleurs abdominales d'apparition récente, troubles du transit intestinal d'apparition récente, (ou modification récente de troubles anciens du transit intestinal), amaigrissement récent inexpliqué, anémie ferriprive (signe d’une hémorragie occulte), méléna ou rectorragies, altération de l'état général, tumeur abdominale palpable…
Le diagnostic repose, selon la localisation, sur le toucher rectal et la coloscopie/rectoscopie qui permet de visualiser la tumeur et de réaliser des biopsies.
Dans le cadre d’un dépistage, le médecin généraliste recherchera en priorité la notion d’éventuels antécédents de polypes, de cancers colorectaux personnels ou familiaux ou encore la présence d’une maladie inflammatoire chronique (maladie de Crohn, rectocolite hémorragique). Le dépistage endoscopique est recommandé pour les sujets ayant un apparenté atteint d’un cancer colique avant 65 ans ou au moins 2 apparentés atteints. Si l’autotest est positif, le médecin adresse dans un second temps le patient à un gastroentérologue pour la réalisation d’une coloscopie. Ce test doit être répété tous les deux ans, mais une surveillance des signes d’alerte entre deux tests est également recommandée.
Un autre cas de figure extrêmement important réside dans l’existence au sein de la famille du patient d’une maladie génétique telle que le syndrome de Lynch ou une polypose adénomateuse familiale. En effet, ces personnes présentent potentiellement un risque considéré comme "très élevé" de développer un cancer colorectal.
Les personnes présentant un risque élevé seront adressées à un gastroentérologue en vue d’une coloscopie. La fréquence de suivi est déterminée en fonction des éventuelles lésions découvertes, du profil et des antécédents du patient.
Le diagnostic repose, selon la localisation, sur le toucher rectal et la coloscopie/rectoscopie qui permet de visualiser la tumeur et de réaliser des biopsies.
Dans le cadre d’un dépistage, le médecin généraliste recherchera en priorité la notion d’éventuels antécédents de polypes, de cancers colorectaux personnels ou familiaux ou encore la présence d’une maladie inflammatoire chronique (maladie de Crohn, rectocolite hémorragique). Le dépistage endoscopique est recommandé pour les sujets ayant un apparenté atteint d’un cancer colique avant 65 ans ou au moins 2 apparentés atteints. Si l’autotest est positif, le médecin adresse dans un second temps le patient à un gastroentérologue pour la réalisation d’une coloscopie. Ce test doit être répété tous les deux ans, mais une surveillance des signes d’alerte entre deux tests est également recommandée.
Un autre cas de figure extrêmement important réside dans l’existence au sein de la famille du patient d’une maladie génétique telle que le syndrome de Lynch ou une polypose adénomateuse familiale. En effet, ces personnes présentent potentiellement un risque considéré comme "très élevé" de développer un cancer colorectal.
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