On distingue les inhibiteurs nucléosidiques/nucléotidiques de la transcriptase inverse INTI (abacavir-Ziagen, emtricitabine-Emtriva, didanosine-Videx, lamivudine-Epivir, stavudine-Zerit, ténofovir-Viread, zidovudine-Rétrovir), les inhibiteurs non nucléosidiques de la transcriptase inverse INNTI (efavirenz-Sustiva, étravirine-Intelence, névirapine-Viramune), les inhibiteurs de la protéase (atazanavir-Reyataz, darunavir-Prezista, lopinavir (+ ritonavir)-Kaletra, saquinavir-Invirase et Fortovase, fosamprénavir-Telzir, tipranavir-Aptivus, indinavir-Crixivan, tipranavir-Aptivus, ritonavir-Norvir), les inhibiteurs de fusion (enfuvirtide-Fuzeon), les inhibiteurs du CCR5 (maraviroc-Celsentri) et les inhibiteurs de l’intégrase (raltégravir-Isentress).
Ainsi que les associations : ténofovir + emtricitabine (Truvada), abacavir + lamivudine (Kivexa), zidovudine + lamivudine (Combivir), zidovudine + lamivudine + abacavir (Trizivir), efavirenz + emtricitabine + ténofovir (Atripla).
De nouvelles combinaisons d’antirétroviraux à prise unique quotidienne (tri ou quadrithérapie) devraient être commercialisées dans le courant de cette année, intégrant notamment un nouvel inhibiteur non nucléosidique de la transcriptase inverse et une nouvelle anti-intégrase. Également annoncée, l’arrivée d’un nouveau « booster » des antiprotéases, plus sélectifs et donc, en principe, mieux toléré que le ritonavir.
Article précédent
Mécanismes d’action
Article suivant
Posologies recommandées chez l’adulte et plans de prise
Quelques cas particuliers
Mécanismes d’action
Les principaux médicaments
Posologies recommandées chez l’adulte et plans de prise
Vigilance requise
Dans quelles situations cliniques ?
Pharmaco pratique
Accompagner la patiente souffrant d’endométriose
3 questions à…
Françoise Amouroux
Cas de comptoir
Les allergies aux pollens
Pharmaco pratique
Les traitements de la sclérose en plaques