Une trousse de voyage spécifique sera conseillée au patient chronique. Attention aux formes galéniques proposées pour les produits conseils et de la même façon, dans la mesure du possible, la prescription médicale sera modifiée en cas de prise de suppositoires (sensibilité à la chaleur), sirops… Repréciser les conditions de conservation des médicaments : à l’abri de la chaleur, de l’humidité et du froid…
Attention aux médicaments photosensibilisants en cas de voyage au soleil.
Attention à l’automédication : un somnifère en avion pourra altérer la perception de l’hypoglycémie chez le diabétique par exemple. Attention aussi au risque d’interactions avec les médicaments prescrits pour le voyage (antipaludéens par exemple…).
Proposer des sacs isothermes pour conserver l’insuline et les médicaments devant être conservés au froid, notamment dans les voitures…
Pour l’asthmatique plus spécifiquement, lui conseiller de conserver les aérosols dans les bagages de cabine car en fonction des avions, une dépressurisation de la soute à bagage peut les vider. De même, ne pas laisser un aérosol doseur dans une voiture fermée en plein soleil. Si le patient utilise un nébuliseur électrique, vérifier qu’il correspond au voltage du pays visité.
Le diabétique, quant à lui, veillera à garder toujours sur lui ce dont il peut avoir besoin : de quoi réaliser un contrôle glycémique, une injection d’insuline ou de glucagon, les collations glucidiques… dans une petite trousse de voyage et une petite pochette isotherme. S’il est amené à devoir acheter une insuline à l’étranger, outre la vigilance sur les dangers de la contrefaçon, attention aux dosages : il ne sera pas forcément de 100 UI/ml comme la plupart des insulines en France.
Attention aux médicaments photosensibilisants en cas de voyage au soleil.
Attention à l’automédication : un somnifère en avion pourra altérer la perception de l’hypoglycémie chez le diabétique par exemple. Attention aussi au risque d’interactions avec les médicaments prescrits pour le voyage (antipaludéens par exemple…).
Proposer des sacs isothermes pour conserver l’insuline et les médicaments devant être conservés au froid, notamment dans les voitures…
Pour l’asthmatique plus spécifiquement, lui conseiller de conserver les aérosols dans les bagages de cabine car en fonction des avions, une dépressurisation de la soute à bagage peut les vider. De même, ne pas laisser un aérosol doseur dans une voiture fermée en plein soleil. Si le patient utilise un nébuliseur électrique, vérifier qu’il correspond au voltage du pays visité.
Le diabétique, quant à lui, veillera à garder toujours sur lui ce dont il peut avoir besoin : de quoi réaliser un contrôle glycémique, une injection d’insuline ou de glucagon, les collations glucidiques… dans une petite trousse de voyage et une petite pochette isotherme. S’il est amené à devoir acheter une insuline à l’étranger, outre la vigilance sur les dangers de la contrefaçon, attention aux dosages : il ne sera pas forcément de 100 UI/ml comme la plupart des insulines en France.
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