Les corticoïdes modifient l’expression de certains gènes gouvernant l’activité de nombreuses cytokines, notamment pro-inflammatoires.
Les analogues de la vitamine D3 et les rétinoïdes inhibent la prolifération des kératinocytes et stimulent la différenciation épidermique.
Le méthotrexate est un analogue de l’acide folique, inhibiteur de la dihydrofolate réductase, exerçant à faible dose une activité anti-inflammatoire.
La ciclosporine est un immunosuppresseur inhibant la sécrétion de diverses cytokines par les lymphocytes T, notamment l’interleukine 2 qui stimule la prolifération lymphocytaire et la différentiation de la réponse des lymphocytes T auxiliaires.
L’infliximab, l’adalimumab et le golimumab sont des anticorps monoclonaux dirigés contre le TNF alpha (une cytokine intervenant dans la médiation de l’immunité naturelle et l’inflammation), tandis que l’étanercept est constitué par des récepteurs solubles du TNF alpha.
L’ustékinumab-Stélara est un anticorps monoclonal inhibiteur des interleukines IL12 et IL23 ; deux cytokines pro-inflammatoires.
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Accompagner la patiente souffrant d’endométriose
3 questions à…
Françoise Amouroux
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Les traitements de la sclérose en plaques