Depuis le Brexit, plusieurs pays de l'Union européenne, dont la France, ont déjà manifesté leur intérêt pour abriter le siège de l’Agence européenne du médicament. Mais, cette fois, la candidature française est officielle, selon Stéphane Le Foll, porte-parole du gouvernement.
Tout comme plusieurs pays européens, la France s’inscrit sur la liste des nations désireuses d’accueillir l'Agence européenne du médicament (EMA). Le porte-parole du gouvernement, Stéphane Le Foll, a indiqué hier, à l’issue du conseil des ministres, que l’Hexagone briguait même deux sièges d’institutions européennes domiciliées jusqu’à présent à Londres, l’EMA mais aussi l’Autorité bancaire européenne (EBA). Les deux établissements européens devront quitter la capitale britannique dès que le Brexit sera entériné.
À l’instar de plusieurs capitales européennes (voir notre article « abonnés »), certaines métropoles françaises, dont Lille et Lyon ont déjà fait valoir leurs atouts pour inciter l’Union européenne à leur confier l'EMA, une agence forte de 850 salariés et dont la proximité serait appréciée des industriels.
D’après une enquête d’UFC-Que choisir
Huit médicaments périmés sur dix restent efficaces à 90 %
Injections intravitréennes
Vabysmo 120 mg/ml : de possibles déchirures sur l’emballage de l’aiguille
Humeur, sommeil et douleurs diffuses
Une huile de CBD sous trois dosages au service du conseil officinal
Rappel de lots
Sérum physiologique Biorg & Fresh : Un défaut à risque d’effets secondaires