55 % des pharmaciens déclarent proposer systématiquement des boîtes à aiguilles aux patients concernés (en autotraitement, mais aussi lors d’une vente d’un autotest VIH) afin de stocker leurs DASRI perforants, selon le baromètre IFOP-DASTRI*. Toutefois, si le pharmacien ne propose pas la boîte à aiguille, c’est parce que, dans 85 % des cas, le patient lui en a fait la demande directement. Ou encore (dans 50 % des cas), parce qu’il n’y a tout simplement pas pensé. Afin d’améliorer ce point d’ombre, Dastri tente de faire évoluer les logiciels de dispensation pour y introduire un message attirant l’attention du pharmacien lorsqu’il est nécessaire de proposer une boîte à aiguille au patient. Par ailleurs, le plus souvent, les questions des patients portent sur les lieux possibles pour déposer leurs boîtes (57 %) ou ce que l’on peut mettre dedans (15 %), selon le baromètre. Pour mieux guider les patients, l’étiquette figurant sur les boîtes indique désormais les types de déchets qu’on peut y stocker et mentionne les informations pour rapporter sa boîte pleine.
* Enquête téléphonique réalisée auprès de 487 pharmaciens du 5 au 8 septembre 2016.
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