La ville compte 58 pharmacies soit une pharmacie pour 2 600 habitants ou encore une pharmacie pour 3 026 habitants équivalents. L’écart entre ces deux populations, réelle et équivalente, soit de 1 à 1,16, s’explique à la fois par un écart du niveau de vie de même ordre de grandeur, et par des disparités se compensant concernant la taille de la famille, CSP, l’âge…
Dijon comporte ainsi un taux d’équipement officinal un peu au- dessous de la moyenne nationale.
Cette moyenne occulte des disparités importantes entre les 66 quartiers (iris Insee).
Niveau de demande et densité officinale par iris
La carte en dégradé de bleu visualise les disparités du niveau de demande par habitant d’un
iris à l’autre. Par rapport à la moyenne nationale, le meilleur iris, « 1503–Eugene Spuller », se situe sensiblement au double et à l’inverse l’iris « 1203–Edouard Be-lin », à environ au tiers. D’où un écart entre iris extrêmes de 1 à 6. La carte fournit également le positionnement des pharmacies en nombre, par iris.
Potentiel de chiffre d’affaires par iris et poids théorique de la parapharmacie
La carte en dégradé de rouge indique le potentiel de chiffre d’affaires médicament de chaque iris. Ce potentiel varie de 0,13 M d’euros (1804 – Castelnau) à 3,81 M d’euros (1101 – La Montagne).
Pour ce qui est du niveau de demande potentielle de parapharmacie, en référence à une moyenne nationale de 17 % (TVA 5,5 % et 19,6 %), on voit qu’il varie d’un iris à l’autre dans une proportion de l’ordre de 1 à 5. Cet écart du potentiel de demande est très supérieur à celui du chiffre d’affaires réel.
On sait en effet que la faible taille de la plupart des pharmacies rend difficile l’expression d’une offre traduisant la demande virtuelle.
Densité officinale face à la demande par iris (potentiel médicaments)
Le graphique en nuage de points visualise la position de chaque quartier-iris en ce qui concerne, d’une part, son potentiel médicament exprimé en population équivalente (EFM), en abscisse et, d’autre part, en ordonné, le nombre de ses pharmacies. On voit que :
27 quartiers-iris (dont 4 à très faible population qui ne figurent pas sur le graphique) sur un total de 66 ne disposent pas de pharmacie, alors que 2 iris ont une population équivalente supérieure
à 3 500 EFM. On notera que ce pourcentage d’iris sans phar-
macie, voisin du tiers traduit une couverture du territoire un peu dépendante de l’implantation
géographique de la population.
29 quartiers-iris, soit un peu moins de la moitié, ont une densité officinale supérieure à la moyenne nationale.
Parmi ces quartiers-iris, 2 iris importants correspondent à moins de 800 habitants équivalents
par pharmacie. Parmi les petits iris, 2 ont une pharmacie pour moins de 300 habitants équivalents.
de son expertise, les activités présentées antérieurement sous le nom de Proscop sont désormais assurées par EMS (European Marketing Science),
toujours présidée par Roger Rémery.
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pour une meilleure utilisation de ces informations ou toutes informations complémentaires. L’ensemble des études
de villes parues dans cette rubrique sont également accessibles sur quotipharm.com dans la rubrique « géopharmacie ».
Voici la prochaine ville retenue pour
notre page géopharmacie : Arras.
Mais peut-être avez-vous une suggestion à nous faire (autres villes, contenu et forme de la rubrique…). La ou les pharmacies dont la suggestion a été retenue recevront un zoom plus précis de la ville.
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