LE QUOTIDIEN DU PHARMACIEN -. Qu’est-ce qui vous a poussé à choisir l’option officine ?
FLORENT CAVAGNA.- Des affinités avec la chimie que j’aime bien et aussi le contact avec le patient.
LUDIVINE GUENIAT.- Je me destinais à la recherche au début, puis j’ai acquis le goût du métier en prenant conscience de l’importance du rôle du pharmacien, en matière d’observance et de conseils, et sa place de premier recours pour le malade.
Si l’épreuve était à recommencer, que changeriez-vous dans vos conseils ?
FLORENT CAVAGNA.- J’aurais recommandé de prévoir des bas de contention pour le voyage.
LUDIVINE GUENIAT.- Dans la réalité, je n’aurais pas dispensé le médicament et j’aurais appelé le médecin pour voir si on pouvait trouver un autre antibiotique. Si la patiente décide de partir tout de même, je lui conseillerais d’acheter des chaussettes de contention et d’emmener son carnet de médicaments.
Vous allez bientôt être diplômés. Quel est votre état d’esprit ?
FLORENT CAVAGNA.- J’aborde mon métier avec le sourire. Je vais me demander tous les jours : « quelle ordonnance vais-je aborder aujourd’hui ? », « quelle valeur ajoutée puis-je apporter ? ».
LUDIVINE GUENIAT.- J’aime mon métier et je suis heureuse de pouvoir être utile, d’apporter des réponses au patient. Je commence donc avec beaucoup de plaisir et de peur à la fois ! Mais je travaille en officine dix heures par semaine et les mois d’été depuis ma troisième année : cette expérience m’aide à faire la part des choses.
Insolite
Épiler ou pas ?
La Pharmacie du Marché
Un comportement suspect
La Pharmacie du Marché
Le temps de la solidarité
Insolite
Rouge à lèvres d'occasion