Une caisse de retraite des anciens combattants (hé oui, je fais partie de ce groupe) m’écrit pour me demander de lui assurer que je suis toujours vivant. Indispensable pour garder ses droits. Je dois dire qu’elle l’a fait avec beaucoup de tact, en se référant à l’article 1983 du code civil et en me demandant de ne pas me formaliser de cette démarche. J’ai donc appelé la caisse pour dire que je ne voyais aucun inconvénient à signaler que j’étais en vie. Au bout de la ligne, une personne me répond :
« Rien ne prouve que c’est vous qui parlez. Je vous prie de suivre la procédure indiquée : envoyez-nous la photocopie de votre carte d’identité et jurez-nous sur l’honneur que vous êtes en vie ». Je me suis plié à la procédure, non sans avoir d’abord souligné à mon interlocutrice que n’importe pouvait le faire à ma place. Elle m’a répondu : « Nous ne voulons pas importuner nos sociétaires en exigeant un certificat de vie en bonne et due forme. Mort, vivant, c’est une formalité »
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