« C’est un signal fort que nous adressons à la grande distribution. En cas de pratique prohibée par le code du commerce, les enseignes peuvent être sanctionnées à hauteur des dommages économiques qu’elles engendrent », lance la secrétaire d’État auprès du ministre de l’Économie et des Finances Agnès Pannier-Runacher. Après enquête, la DGCCRF a démontré que la SC GALEC, centrale d’achat du groupe E. Leclerc, imposait à certains fournisseurs de marque nationale une remise, généralement de 10 %, sans aucune contrepartie commerciale, sur tous les produits qu’ils fournissaient déjà l’année précédente à une enseigne de hard discount concurrente. La DGCCRF a assigné la SC GALEC au nom du ministre le 28 février 2018 et demande « la nullité de ces remises », « la cessation de la pratique », la condamnation à « une amende civile de 25 millions d’euros » et le remboursement « des sommes indûment perçues à hauteur de 83 millions d’euros ».
La DGCCRF réclame 108 millions d’euros à Leclerc
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Publié le 01/04/2019
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Source : Le Quotidien du Pharmacien: 3508
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