L’ACADÉMIE nationale de pharmacie défend à son tour le monopole de dispensation des officinaux (voir également notre article en page 4). « Toute déréglementation risque d’hypothéquer lourdement la santé publique et de mettre en cause les engagements pris pour développer les missions de prévention et de pharmacovigilance des pharmaciens d’officine », écrit-elle dans un communiqué. Dans ce contexte, l’instance a décidé d’alerter les autorités sur les conséquences qu’entraînerait toute déréglementation des pharmacies d’officine, mais aussi les patients sur les risques pour la qualité de tout notre système de soins en cas de renonciation à notre mode de dispensation des médicaments et des produits de santé. Pour elle, banaliser cette dispensation risque de favoriser contrefaçon et mésusage ; toute remise en cause du monopole ne garantirait plus l’accès permanent aux médicaments et produits de santé sur l’ensemble du territoire français.
Fin du monopole
Un risque pour la santé publique
Publié le 04/09/2014
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Source : Le Quotidien du Pharmacien: 3111
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