Deux lois adoptées successivement fin décembre sur l’adaptation de la société au vieillissement de la population, et début février sur la création de nouveaux droits en faveur des malades et des personnes en fin de vie, pourraient intéresser les pharmaciens.
La loi du 2 février prévoit à son article 1 un enseignement aux soins palliatifs dans la formation initiale et continue pharmaceutique, au même titre que les autres professionnels de santé. Toutefois, ce texte ne précise pas le rôle réel du pharmacien dans la prise en charge du patient qui souhaiterait la mise en œuvre de la sédation profonde et continue à son domicile.
La loi sur le vieillissement publiée le 29 décembre peut aussi concerner le pharmacien dans le cadre des soins à domicile. Il pourrait ainsi être intégré à des expérimentations prévues à l’article 49 sur la création de services polyvalents d’aide et de soins à domicile (SPASAD). Quant aux mesures concernant le bon usage du médicament, une compétence directement en lien avec le pharmacien, il faudra attendre un plan thématique porté par le gouvernement, comme l’avait indiqué en 2015, Laurence Rossignol, secrétaire d’État chargé de la Famille, des personnes âgées et de l’autonomie.
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