SUR LE PLAN administratif et de la démocratie locale, Villeurbanne comporte 18 quartiers regroupant chacun un certain nombre d’iris INSEE. La commune possède 41 pharmacies soit une officine pour 3 370 habitants (3 536 EFM) et un équipement officinal très en dessous de la moyenne nationale. Mais, cette moyenne masque d’importantes disparités d’un quartier à l’autre.
Densité officinale face à la demande par iris.
Le graphique en nuage de points mettant en relation pour chaque iris son potentiel de chiffre d’affaires médicament en abscisses et le nombre de pharmacies en ordonnées montre que :
- 19 iris sur 47 (un 48e iris est sans population), soit 40 % des iris sont dépourvus de pharmacie, dont 4 ont une population équivalente supérieure à 4 000 habitants. Ce pourcentage d’iris sans pharmacie est sensiblement supérieur à celui rencontré dans la plupart des villes de même taille.
- 5 iris ont 3 pharmacies dont le mieux pourvu correspond à une pharmacie pour 844 équivalents français moyen (EFM). Une telle concentration bien qu’importante est sensiblement moindre que celle rencontrée dans des villes comparables.
- 16 iris sur 47, soit un tiers de l’ensemble ont une densité officinale supérieure à la moyenne nationale.
Ainsi, Villeurbanne se distingue nettement des villes de même importance, par une densité officinale relativement faible comparée à la moyenne nationale de même qu’avec une moindre concentration de type centre-ville et une taille moyenne des officines plus importantes.
Niveau de demande et densité officinale par iris.
La carte en dégradé de bleu visualise les disparités du niveau de demande médicament par habitant d’un iris à l’autre. Le meilleur iris (1002 – Zola Pressence Est) se situe à 60 % au-dessus de la moyenne nationale. À l’inverse, l’iris (1701 – Jacques Monod) se trouve à 60 % en dessous de la moyenne nationale. D’où un écart entre iris extrêmes de 1 à4.
La carte fournit également le positionnement des pharmacies en nombre, par iris.
Potentiel de chiffre d’affaires par iris et poids théorique de la parapharmacie.
La carte en dégradé de rouge indique le potentiel de chiffre d’affaires médicament annuel de chaque iris. Ce potentiel varie de 0,2 million d’euros (1801 – La Soie) à 3,44 millions d’euros (1303 – Maisons Neuves). On rappelle que le potentiel médicament pour l’ensemble de la ville se chiffre à 87 millions d’euros, ce qui représente un potentiel de 2,12 millions d’euros par pharmacie, chiffre très supérieur à celui rencontré pour des villes comparables.
Pour ce qui est du niveau de demande potentielle de parapharmacie, en référence à une moyenne nationale de 17 % (TVA 5,5 % et 19,6 %), on voit qu’il varie d’un iris à l’autre dans une proportion de l’ordre de 1 à 4.
On sait que le potentiel ainsi évalué est souvent très supérieur à la capacité de l’officine à le prendre en compte.
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