L’expérimentation par certaines universités de l'interdiction du redoublement de la première année menant aux filières de santé (médecine, pharmacie, maïeutique, kinésithérapie, dentaire, ergothérapie), autrement dit la « PACES particulière » ou « PACES One », a été accueillie favorablement par les associations d’étudiants, dont l'Association nationale des étudiants en pharmacie de France (ANEPF).
Elles estiment que cette suppression du redoublement est un facteur de réussite pour les néobacheliers qui, bien qu’ayant un niveau suffisant, voient leurs chances de réussir au concours amenuisées par la concurrence des redoublants.
Par ailleurs, les six associations d’étudiants se félicitent de la mise en place d’un dispositif permettant de poursuivre en licence tout en retentant parallèlement sa chance à la PACES. Et par conséquent de valider une licence en trois ans au lieu de quatre ou cinq ans.
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