Les principaux médicaments

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Publié le 08/06/2017
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On distingue :

Les anti-histaminiques H1 : 1re génération (alimémazine-Théralène, bromphéniramine-Dimégan, dexchlorphéniramine-Polaramine, hydroxyzine-Atarax, isothipendyl-Istamyl, kétotifène-Zaditen…) ; 2e génération (bilastine-Bilaska et Inorial, desloratadine-Aérius, méquitazine-Primalan, cétirizine-Virlix, Zyrtec et Zyrtecset, lévocétirizine-Xyzall, loratadine-Clarityne, mizolastine-Mizollen, rupatadine-Wystamm azélastine-Allergodil).

Les « stabilisateurs de mastocytes » : cromoglycate de sodium-Cromabak, Cromadoses, Lomusol et Multicrom, nédocromil-Tilavist, iodoxamide-Almide, acide N-acétyl aspartyl glutamique ou acide spaglumique-Naaxia-Naabak.

Les corticostéroïdes : formulations intranasales (béclométasone-Béconase et Béclo-Rhino, budésonide-Rhinocort, fluticasone-Flixonase et Avamys, mométasone- flunisolide-Nasalide, Nasonex, tixocortol-Pivalone, triamcinolone-Nasacort), formes systémiques (bétaméthasone-Betnesol-Célestène, prednisone-Cortancyl, méthylprednisolone-Solupred). Il faut y ajouter les corticoïdes rentrant dans la composition des traitements de fond anti-asthmatiques (il existe très souvent une composante allergique dans l’asthme).

Les inhibiteurs des leucotriènes : montélukast-Singulair

Les anticorps monoclonaux anti-IgE : omalizumab-Xolair.

Les médicaments de l’urgence : adrénaline-Anapen, Emerade, Epipen et Jext.

Les médicaments d’immunothérapie spécifique de l’allergène ou ITS (« désensibilisation ») : Grazax (extrait allergénique de phléole des prés) et Oralair (Extrait allergénique de pollens de graminées : dactyle, flouve odorante, ivraie vivace, paturin des prés, fléole des prés).

Source : Le Quotidien du Pharmacien: 3357